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    Pour effectuer le pointage en ligne sur le site de l'ANETI :( www.emploi.nat.tn) vous devez:

  • être inscrit dans un des bureaux de l’emploi et du travail indépendant,
  • être à la recherche active d’un emploi, c’est-à-dire que vous pointez régulièrement au moins une fois tous les deux mois,

         Il est à noter que si vous êtes inscrit dans l'un des Bureaux de l’Emploi et du Travail Indépendant et que vous n’avez pas effectué de pointage depuis plus de deux mois, vous ne pourrez pas l’effectuer en ligne. En effet il vous faudra passer par l’un des bureaux pour réactiver votre inscription et procéder à une éventuelle mise à jour de votre fiche d’inscription (nouveau diplôme ou numéro de téléphone ou nouvelle adresse, etc.)
Devenir membre du site se fait à partir des liens suivants :
  • "Accès et Inscription membre" ou "Devenir membre" à partir de l’Espace Demandeur d’Emploi
  • "Devenir Membre" à partir de l’Accès rapide 
Concernant le login et le mot de passe, c’est vous qui les choisissez.  
Des aides en ligne sont disponibles pour vous indiquer la démarche à suivre.
             Maintenant pour accéder au pointage en ligne, vous devez saisir votre login et votre mot de passe pour entrer dans votre espace personnalisé. Vous avez deux possibilités pour accéder au pointage en ligne : 
  • ou à partir de la rubrique "Accès membre" toujours dans l’Espace demandeur d’emploi,
dans les deux cas, cliquez sur le lien "Pointage" et saisissez le numéro de votre CIN, puis validez.
N’hésitez pas à contacter( 19 Rue Asdrubal 1002 Tunis - Tunisie Tel.: +216.71.781.200 Fax : +216.71.783.236
Email : aneti@emploi.nat.tn )
 si vous rencontrez des difficultés.

( Source le site de l'ANETI )

Solvabilité : La COFACE attribue le rating A4 à la Tunisie (l’équivalent du triple A)

Solvabilité : La COFACE attribue le rating A4 à la Tunisie (l’équivalent du triple A) 

La Compagnie française d’assurance-crédit à l’export “COFACE“ a amélioré son appréciation concernant l’environnement d’affaires de la Tunisie. La COFACE nous attribue le rating A4, qui est l’équivalent d’un triple A, en l’assortissant toutefois d’une «perspective négative». Ce dernier élément signifie que notre notation risque d’être dégradée.

La Tunisie expose son potentiel touristique à La Haye

La Tunisie expose son potentiel touristique à La Haye

Une "Journée du tourisme tunisien" a été organisée, samedi 12 mai, à La Haye (Pays-Bas) alors que le flux des touristes néerlandais vers le pays, a chuté de 62% entre 2010 et 2011 (de 75 mille à 26.500 visiteurs). Pour 2012, la Tunisie table sur 50 mille touristes hollandais. A cette fin, l'Office national du tourisme tunisien (ONTT) a organisé cette manifestation, comportant plusieurs activités culturelles et touristiques.

Une tente a été dressée sur la place principale de la plage de Scheveningen de La Haye, exposant le patrimoine culturel et artisanal tunisien, telles que la poterie, la céramique, la mosaique, la calligraphie... 

Lors d'une soirée tunisienne, à laquelle ont été conviées des personnalités de la sphère politique, économique et culturelle des Pays-Bas, Habib Ammar, directeur général de l'ONTT, a évoqué "la richesse du produit tunisien qui répond parfaitement aux attentes du touriste hollandais". Il a eu également, en marge de cette manifestation, des entretiens avec les plus importants tours opérateurs néerlandais qui commercialisent la destination tunisienne pour prendre connaissance de leurs programmes sur la Tunisie (2012-2013) et leur exprimer le soutien à leur initiative. 

Le DG de l'ONTT a également discuté avec le président de la Fédération des tours opérateurs et agences de voyages néerlandaise, Frank Oostdamn, des prémices d'une reprise du tourisme hollandais vers la Tunisie.

Halima Ben Ali voulait tirer sur les Trabelsi et les tuer», dixit Samir Seriati


«Halima Ben Ali voulait tirer sur les Trabelsi et les tuer», dixit Samir Seriati



Invité sur le plateau d’Express Fm dans la matinée du lundi 14 mai 2012, Samir Seriati, fils d’Ali Seriati ex-chef de la garde présidentielle du temps de Ben Ali, a présenté les détails des coulisses de l’Etat pendant les événements de la révolution.

Rappelant que son père Ali Seriati est encore en état d’arrestation pour complicité dans les meurtres des martyrs de Kasserine, il a déclaré que le rapport de la commission d’investigation sur les dépassements, récemment publié, éclaircissait certains détails en faveur de son père mais que beaucoup de zones d’ombre restent encore obscures et plusieurs questions sont encore sans réponses.

Samir Seriati a ajouté que son père disposait de plusieurs informations cruciales, encore inconnues de l’opinion publique. En date du 12 janvier 2011, M. Seriati a eu une information des services secrets français, selon laquelle un coup d’état était en préparation. Deuxième information, un intrus s’est infiltré dans la garde présidentielle, en vue d’assassiner Ben Ali. La troisième information stipule qu’Ali Seriati aurait reçu un SMS du secrétaire général de l’ex- RCD, Mohamed Ghariani dans la matinée du 14 janvier à 7h30 l’alertant que des islamistes se sont préparés afin de perpétrer une "descente" sur le palais présidentiel. Ces trois données ont poussé Ali Seriati, selon son fils, à pousser Ben Ali à quitter le palais pour s’abriter à l’aéroport. Le but de M. Seriati, toujours selon son fils, était d’épargner le pays d’émeutes et de confrontations sanglantes.

Par ailleurs, Samir Seriati a rappelé que les cinq agents qui travaillaient sous les ordres de son père ont tous été promus et décorés par le président Moncef Marzouki.

Il a affirmé, à propos du récit des circonstances de la fuite de la famille de Ben Ali, que Halima, fille benjamine de Ben Ali, était dans tous ses états et furieuse contre les Trabelsi et qu’elle a tenté d’arracher l’arme d’un des gardes présidentiels et de tirer sur eux, tout en les insultant et les accusant d’être à l’origine de tous les problèmes de son père.

Tunisie. La hausse du déficit commercial inquiète la Banque centrale


 Le déficit de la balance commerciale tunisienne s’est creusé de 38,8%, au cours du 1er trimestre de 2012, par rapport à la même période de l’année précédente, en raison notamment de l’augmentation des importations.

Ce déficit a atteint 3,3 milliards de dinars tunisiens.
Selon l’Institut national de la statistique (Ins), qui a publié ces chiffres, le volume des importations est estimé à 11,9 milliards de dinars, contre 8,6 milliards de dinars à l’exportation donnant ainsi lieu à un recul du taux de couverture des importations par les exportations avec 5,1 points pour atteindre  72,2%.

L’accroissement des exportations englobe la plupart des secteurs dont les produits alimentaires (18,7%), l’industrie mécanique (16,3%) et l’énergie (12,6%).

Pour cela, le ministère du Commerce a arrêté une série de nouvelles mesures pour limiter les opérations à l’exportation par voie terrestre dans une tentative de maîtrise de la flambée des prix au niveau du marché local du fait d’une forte demande.

La tutelle a, en effet, décidé de soumettre certains produits destinés à l’exportation par voie terrestre à une autorisation préalable délivrée par la direction générale du commerce intérieur. Il s’agit des fruits et légumes, de conserves alimentaires, du bétail, des viandes et volaille, de lait et dérivés, d’eau minérale, de sucre, d’huiles végétales, de ciment et d’engrais chimiques.

La lutte contre l’exportation illégale de ces produits vers la Libye s’est également intensifiée ces derniers jours.
Par ailleurs, la Banque centrale tunisienne (Bct) avait mis en garde contre la poursuite d’un déficit commercial en hausse ce qui «amplifiera» les pressions sur le secteur extérieur nécessitant, par conséquent, des financements étrangers supplémentaires pour le restant de l’année.
I. B. (avec agences)
*Source:  http://www.kapitalis.com

Tunisie : Ville et citoyenneté pour le développement


Tunisie : Ville et citoyenneté pour le développement

Sfax, Bizerte, Gafsa, ces trois villes pilotes prendront part les 19 Mai et 14 Juin prochain de l’initiative « CityCampTunisia2012 ». Ce projet, éminemment citoyen et bénéficiant de l’appui de la Banque Mondiale
, a  vu le jour grâce aux transformations radicales qu’a connues la Tunisie depuis la Révolution, qui ont placé le citoyen tunisien au cœur de tout projet de société.

Cette situation, à laquelle s’ajoute une volonté politique de responsabilisation accrue du gouvernement et de gestion des affaires publiques plus transparente, a permis l’émergence du projet «CityCamp Tunisia 2012 », où  les TIC sont mises au service de l’engagement civique municipal en Tunisie.

Le principe du «CityCamp Tunisia» est de créer des applications technologiques destinées à fluidifier la communication entre les citoyens et les services municipaux ainsi qu’à améliorer les services publics et la transparence des institutions locales.

Lors de la phase d’initialisation du projet, des groupes de travail, constitués de responsables municipaux de Sfax, Bizerte et Gafsa et d’acteurs de la société civile tels que des ONG, des Clubs d’étudiants, des enseignants universitaires et des chefs d’entreprises, se sont rassemblés afin d’identifier les besoins prioritaires au niveau municipal.

Le diagnostic établi lors de ces ateliers de travail a par la suite été transmis aux communautés IT afin qu’elles puissent proposer des applications informatiques adaptées aux besoins exprimés.

Le 19 mai 2012 aura lieu à la Technopole de Sfax (Institut des Multimédias) une séance de concertation et d’optimisation où deux ateliers seront organisés afin de présenter les résultats des évaluations effectuées ainsi que les solutions imaginées pour améliorer la relation entre municipalité et citoyen.

Le 14 juin 2012 à Bizerte, les groupes de travail se réuniront à nouveau pour affiner les propositions techniques afin, qu’à terme, elles puissent être adoptées par toutes les municipalités de Tunisie.

Le résultat attendu est de permettre aux différentes municipalités de tirer parti de l’engagement citoyen pour leur développement, d’œuvrer pour la transparence dans la gestion des services municipaux et d’en faire profiter la communauté.


*Source: http://www.espacemanager.com